Comment se préparer sereinement à la CSRD ?
Si aujourd’hui les entreprises y voient une contrainte et des coûts supplémentaires, chez R3 nous sommes convaincus du contraire. La CSRD est source d’opportunités et un puissant levier de performance ! Pourquoi ? Parce que les nouveaux indicateurs vont toucher l’ensemble de la chaîne de valeur de l’entreprise. La RSE sera ainsi directement reliée aux gains réalisés sur l’énergie, sur les impacts environnementaux (carbone eau, déchets, biodiversité…), aux gains pour la marque employeur, mais aussi aux gains économiques grâce à la transformation des business models.
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Pourquoi choisir R3 pour réussir sa double-matérialité ?
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La maîtrise de la réglementation
Nos experts R3 maîtrisent la règlementation CSRD à l’échelle française et européenne, en particulier les nouvelles obligations européennes de durabilité.
Un outil propriétaire, collaboratif et évolutif
Nous avons développé R3 Report’ CSRD, un outil digital qui vous apporte autonomie et simplicité dans la collecte des données, dans la visualisation de l’analyse de écarts et le suivi de vos actions et de vos indicateurs.
Une sélection et une priorisation des indicateurs matériels
R3 dispose d’une expertise complète sur la RSE, la décarbonation et la performance énergétique qui permet une approche pragmatique de la collecte et une structuration optimale du rapport de durabilité.
Une mise en conformité réussie
100% des rapports validés par les commissaires aux comptes.
Une approche sur-mesure pour chaque secteur
Des équipes spécialisées sur tous les secteurs (agroalimentaire, cosmétique, industrie, électronique, mobilité, luxe, grande distribution, aéronautique…) pour sélectionner et prioriser les indicateurs à reporter.
Quelles %%opportunités%% pour votre entreprise ?
Des opportunités pour vous, qui appliquez la CSRD :
- Sortir d’une vision silotée de la RSE au profit d’une approche intégrée
- Mesurer des indicateurs pertinents et fiables sur la santé extra-financière de votre entreprise
- Prioriser les indicateurs clés et anticiper les plans d'action pour les améliorer
- Mieux anticiper les évolutions liées au changement climatique et développer un business model résilient
- Mieux vous positionner sur votre marché en comparant votre performance RSE à celle de vos concurrents et en identifiant vos axes de différenciation.
Des opportunités vis-à-vis de vos parties prenantes :
- Crédibiliser votre démarche par des indicateurs tangibles
- Renforcer le dialogue avec vos parties prenantes
- Valoriser vos engagements et les actions mises en place
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Une méthodologie en 5 étapes pour répondre à la CSRD
Tout au long de ces 5 étapes, R3 met à votre service des solutions et des outils pour structurer, faciliter et piloter votre démarche .
1. Sensibilisation et spécification des enjeux
Chez R3, nous sommes convaincus que le succès de votre démarche commence par une session de sensibilisation sur les grands enjeux de la RSE et les nouvelles exigences réglementaires. Cette session vous permet d’embarquer votre comité de pilotage, tout en recueillant leurs attentes et connaissances.
En parallèle, l’objectif de cette 1ère étape est de relier les enjeux et sous-enjeux de la CSRD à vos enjeux et problématiques opérationnelles afin d’assurer la cohérence du cadre posé pour la consultation, d’identifier les impacts, risques et opportunités associés et d’identifier vos parties prenantes internes et externes à associer à chaque enjeu.
2. Consultation et construction de la matrice réglementaire
Collecte et analyse des données pour aboutir à l’élaboration de votre matrice de double matérialité :
- Matérialité d’impact : qualifier la gravité et la probabilité/fréquence de vos impacts sur les écosystèmes (l’environnement, la société, …), c’est-à-dire sur l’ensemble des parties prenantes.
- Matérialité financière : qualifier l’impact (positif et/ou négatif) des écosystèmes sur vos résultats financiers, votre business et sa pérennité.
L’analyse de double matérialité de R3 vient enrichir la vision de la CSRD orientée sur les risques grâce à une approche basée sur vos opportunités afin d’anticiper vos risques, détecter vos potentiels d’innovation durable et garantir la durabilité de votre modèle d’affaire.
3. Identification et reporting des indicateurs qualitatifs et quantitatifs
L’identification et l’analyse des indicateurs représentent l’une des principales composantes de l’exercice demandé par la CSRD. En effet, la double matérialité permet à l’entreprise de détecter quels sont ses enjeux « matériels », c’est-à-dire ses enjeux prioritaires. On parle ici des impacts positifs et négatifs.
*Les enjeux ayant un impact financièrement significatif sur l’entreprise et/ou les enjeux pour lesquels l’entreprise à un impact socio-environnemental significatif
Il est ensuite demandé d’établir un reporting et d’avoir des indicateurs précis en lien avec les attentes de la CSRD selon :
- Les normes trans-sectorielles : obligatoires pour toutes les entreprises concernées par la CSRD
- Les normes sectorielles : standards obligatoires en fonction du secteur d’activité de l’entreprise (en attente de publication)
- Les normes spécifiques à l’entreprise : informations à communiquer si nécessaire pour couvrir l’ensemble des IRO (Impacts, Risques et Opportunités) significatifs identifiés lors de l’analyse de double matérialité (si non déjà couverts par les 2 premiers niveaux)
A l’issue des 3 premières étapes, nos experts auront réalisé une « Gap analysis » (analyse d’écarts), c’est-à-dire une comparaison entre vos pratiques de reporting ESG et les exigences attendues par les normes de l’EFRAG. Cette analyse permet d’identifier les leviers nécessaires pour supprimer cet écart et compléter les pratiques de reporting ESG.
Cette étape de Gap Analysis peut être faite à travers l’utilisation de notre outil Report CSRD.
4. Mise à jour de la feuille de route et de la gouvernance
Nos experts prennent en compte l’existant et capitalisent sur vos actions et vos points forts pour simplifier et alléger au maximum l’intégration de la nouvelle réglementation :
- Co-construction de la feuille de route CSRD en résonance avec l’analyse de double matérialité et votre plan d’action RSE actuel
- Structuration de la gouvernance globale de votre démarche afin d’assurer la mise en place des actions identifiées et la bonne remontée d’informations
- Paramétrage de l’outil digital de pilotage et de reporting RSE R3 Pilot’RSE
5. Structuration du rapport de durabilité
Elaboration de la structure du rapport de durabilité afin d’en faciliter la rédaction et l’intégration de l’ensemble des données et indicateurs à suivre.
En savoir plus
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Nos ressources et webinaires
Découvrez des outils, études et retours d’expérience pour structurer et piloter votre transition RSE et environnementale
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Les questions fréquentes
Il existe de nombreux avantages de mettre en place une stratégie RSE pour une entreprise :
- Amélioration de la perception de l’entreprise.
- Satisfaction des exigences des consommateurs.
- Différenciation par rapport à la concurrence.
- Accroissement de l’attrait en tant qu’employeur.
- Diminution des dépenses.
- Prévision des changements réglementaires à venir.
Les quatre piliers de la stratégie RSE d’une entreprise sont :
- Social : Bien-être des employés et conditions de travail.
- Environnemental : Réduction de l’impact écologique.
- Économique : Création de valeur durable et éthique.
- Gouvernance : Transparence et gestion responsable
Les sept principes fondamentaux de la RSE (Responsabilité Sociétale des Entreprises) définis par l’ISO 26000 sont :
- Responsabilité : Assumer les impacts de ses décisions et activités sur la société et l’environnement.
- Transparence : Partager de manière ouverte et claire les informations sur ses décisions, actions et impacts.
- Comportement éthique : Adopter des pratiques honnêtes, équitables et intègres dans toutes les activités.
- Respect des parties prenantes : Identifier, impliquer et considérer les attentes des différentes parties prenantes.
- Légalité : Respecter toutes les lois et réglementations pertinentes.
- Normes internationales : Intégrer et respecter les normes internationales de comportement.
- Droits humains : Respecter et promouvoir les droits humains reconnus au niveau international.
Il n’est généralement pas obligatoire pour une entreprise de mettre en place une stratégie RSE, mais il existe des exceptions et des incitations :
- Rapport RSE Obligatoire : En Europe, certaines grandes entreprises cotées et les institutions financières doivent fournir un rapport non financier (ou de développement durable) détaillant leurs activités RSE. En France, c’est obligatoire pour les grandes entreprises de plus de 500 employés.
- Normes et Réglementations Sectorielles : Certaines industries ont des normes spécifiques en matière de RSE, en particulier dans les secteurs les plus à risque en matière d’environnement ou de droits humains.
- Pression des Parties Prenantes : Les clients, investisseurs, employés et autres parties prenantes exigent souvent des entreprises des engagements clairs en matière de RSE.
Même si ce n’est pas toujours obligatoire, il est de plus en plus avantageux d’intégrer une stratégie RSE pour répondre aux attentes croissantes du marché et améliorer sa réputation.
Les organismes tiers indépendants auditeront les rapports CSRD pour vérifier la conformité des informations fournies.
En cas de non-respect, les sanctions comprennent :
- Non-publication du rapport : amende de 30 750 euros et injonction de publier le rapport par un tiers. Cela peut également entraîner l'exclusion des procédures de marché public.
- Absence d'audit : amende de 30 000 euros et jusqu'à 2 ans d'emprisonnement en cas de non audit du rapport extra-financier.